Melocotoи Productioиs

Productions spectacles, théâtre, festivals, musiques

MELOCOTON PRODUCTIONS

Adresse: 23 Rue Marcel Sembat
92130 Issy-les-Moulineaux

Catégorie: Arts du spectacle vivant
contact: melocotonproductions@gmail.com

Article plus ancien Accueil

Productions spectacles, théâtre, festivals, musiques

Productions spectacles, théâtre, festivals, musiques.

Nuits d'été 2011

Nuits d’été 2011 Théâtre, Spectacle pour enfant, exposition, Hôtel Gouthière Dans le cadre exceptionnel de l’Hôtel Gouthière, en collaboration avec le conservatoire Hector Berlioz, la mairie du Xe, la compagnie TAL présente chaque année, en période estivale, au coeur de Paris, des spectacles en plein air et en intérieur. Une opportunité pour un public avide de théâtre de savourer, hors des sentiers battus, à l’écart des nuisances citadines, une programmation ambitieuse soucieuse d’offrir à son public des pièces nous transportant dans le domaine de l’imaginaire, du rêve, de l’évasion, de la poésie… à mille lieues, l’été naissant, des contingences matérielles et quotidiennes… une bouffée d’air frais proposée par des équipes jeunes, passionnées, animées du désir de vous divertir. Festival soutenu par la mairie du Xe Les Divas de L'obscur Le nouveau spectacle Psycho-Glamour-Musical de Stéphan Druet

Les Divas de l’Obscur Mise en scène de Stéphan Druet Auteur Lucas Darkain Assistante à la mise en scène Virginie Lavallée Costumes Claudio Soro Assistante aux costumes Martina Moscariello Lumières Cesko Création maquillages et perruques Magalie Roux avec (par ordre alphabétique) Zakia Abasse, , François Briault, Anne Cosmao, Geneviève de Kermabon, Emma Fallet, Cécilia Filippi, Sebastiàn Galeota, Nanou Garcia, Laura Lago,Virginie Lavallée, Tiago Do Nascimento, Caroline Roëlands, Anne Seiller, Sarah Zoghlami

Découvrez Amor, amor... à Buenos Aires au Théâtre Comedia sur Culturebox !

			Amor, amor ... à Buenos Aires On y suit l’histoire d’Ottavia, travesti revenant dans la pension de sa mère à Buenos Aires afin d’y régler ses comptes. Dans cet établissement haut en couleurs se croisent des personnages tout aussi pittoresques : une grand-mère fumeuse d’herbe, deux vieilles filles austères réfrénant leur nymphomanie, un bellâtre macho et une prostituée aux jambes de rêve. Entre cris et crises, les règlements de comptes à la latine ont une propension certaine à l’hystérie. On s’aime, on se déchire, on se quitte, on se retrouve, et comme on est en Argentine, on y danse aussi le tango… Mise en scène : Stéphan DRUET Distribution Ottavia La Blanca Sebastiàn Galeota Alba (la mère) Mona Heftre Elsa (la soeur) Cécilia Filippi Claudia (la soeur) Emma Fallet Yolanda (la putain) Laura Lago Zulma (la grand-mère) Stéphane Eloy Alvaro (le bel Argentin) François Briault Pedro (le « garde du corps ») Salem Sobihi avec la participation exceptionnelle de Coco Dias Chorégraphie : Caroline Roëlands Lumière : Régis Vigneron Son : Philippe Parmentier Costumes et chapeaux : Michel Dussarat Maquillage : MAC
Le Musical chic et décalé! Jusqu'au 27 fév. Et du 8 au 24 avril.
	Tarif pour les moins de 26 ans 10 € la place en 1ère catégorie (dans la limite des places disponibles) >>>> Se présenter au théâtre 30 mn avant le début* de la représentation !* >>>> ou réserver en ligne* en choisissant : 1ère Catégorie > INTERNET Enfant* *(une pièce d'identité sera exigée au contrôle)*
Note d’intention de l'auteur Ce spectacle pourrait se définir comme une revue-cabaret-théâtre argentin. Le texte est une création d’un jeune auteur argentin dans lequel il a injecté différents passages de la littérature, du théâtre et du cinéma argentins. Le tout mêlé à divers morceaux musicaux chantés en direct par les comédiens. L’esprit est baroque, coloré, rythmé et plein d’humour. Huit comédiens sur le plateau avec des personnages plus différents et plus déjantés les uns que les autres. Des costumes, perruques et chapeaux colorés. Une bande son musicale étonnante. Cette pension de famille est un reflet de ce qui se passe réellement dans certains quartiers de Buenos Aires. On crie, on s’injurie, on pleure, on commente les ragots, mais on joue, on chante et on danse. On se déteste mais on s’adore. La pièce traite du rapport et des relations au sein d’une famille, du refus de l’homosexualité, de l’emprise de la mère et de l’absence du père. Tout cela avec une forme légère et divertissante, grâce entre autre à la musique.



		Avec son style coloré et son ton décalé ... - article PDF
		Bons Baisers de Buenos aires - article PDF

AMOR AMOR à BUENOS AIRES

Sebastian Galeota

Cette année, dans le cadre des Nuits d'été à l'Hôtel Gouthière, Melocoton Productions s'associe à le TAL pour un nouvel été parisien qui se déroulera du 08 juillet au 08 août 2010.

Ces nuits d'été seront consacrées à l'Amérique du Sud, et plus particulièrement à l'Argentine dont nous fêtons cette année le bicentenaire.

Le Chili, le Mexique, la Colombie et d'autres pays voisins seront également à l'honneur.

Nouvelle Bande-Annonce "Se dice de mi, en Buenos Aires"

Melocoton Productions 2010 Les nuits d'été à l'Hôtel Gouthière

"Córdoba", une pièce d'Andréa Brusque

Avec
Clément Bernot
Antoine Berry Roger
Andréa Brusque

Cette pièce est une tragi-comédie reconstituant, par fragments, la vie d’une jeune femme, vivant et travaillant de nos jours à Córdoba, en Argentine.

Une série de tableaux réalistes, entrecoupés par de petits monologues décalés, tissent et dépeignent, non pas un dédoublement de personnalité chez la jeune femme, mais une soustraction qui n’en finit pas - instrumentée par l’absurdité de sa hiérarchie chez Telecom Argentina, par le poids des « non-dits » dans sa vie familiale et par la cruauté de ceux qui prétendent lui « offrir » une nouvelle existance, les chirurgiens esthétiques.
Trois comédiens pour sept personnages. C’est le défi que relève Córdoba, à travers une dramaturgie en spirale, où la répétition sert à exacerber l’histoire comique et cauchemardesque qu’elle raconte.

Avec

Ottavia La Blanca : Sebastiàn Galeota
Alba (la mère) : Nanou Garcia
Elsa (la soeur) : Cécilia Filipi
Claudia (la soeur) : Emma Fallet
Yolanda (la pute) : Laura Lago
Zulma (la grand-mère) : Stéphane Eloy
Alvaro (le bel Argentin) : François Briault
Pedro (le « garde du corps ») : Salem Sohibi.
Lumières : François Briault

Costumes et chapeaux : Martina Moscariello

Maquillages: MAC

Une pseudo star, Ottavia La Blanca, revient après quinze ans d’absence, dans sa ville natale, Buenos Aires. Il est maintenant travesti et fait croire qu’il est une star à New-York, mais en réalité se produit dans une boite minable à Córdoba. (Il arrive avec Pedro, son « garde du corps », danseur de tango homosexuel.) Il arrive dans la Pension de famille (« Casa Alba ») et va retrouver sa mère, Alba (qui a toujours su, mais reniée l’homosexualité de son fils), son père, Ausente (qui ne jure que par Carlos Gardel ), sa nouvelle voisine, Yolanda dite Yoli (une pute de bas étage), ses deux tantes : Elsa et Claudia (soeurs de sa mère, qui ont toujours vécu sous l’influence de leur grande soeur mais qui vont se rebeller et se révéler à l’arrivée de Ottavia La Blanca), Alvaro (le bel argentin du quartier dont il a toujours été secrètement amoureux) et sa grand-mère (la mère de sa mère : Zulma, d’origine russe) avec qui il a toujours été très lié et qui connaît en secret tous ses secrets. Il décide de revenir pour « régler ses comptes » avec sa famille, voir sa grand-mère qu’il adore et surtout revoir Alvaro, l’amour de sa vie...

Note d’intention du metteur en scène :

Ce spectacle pourrait se définir comme une revue-cabaret-théâtre argentin. Le texte est une création d’un jeune auteur argentin dans lequel il a injecté différents passages de la littérature, du théâtre et du cinéma argentins. Le tout mêlé à divers morceaux musicaux chantés en direct par les comédiens. L’esprit est baroque, coloré, rythmé et plein d’humour. Huit comédiens sur le plateau avec des personnages plus différents et plus déjantés les uns que les autres. Des costumes, perruques et chapeaux colorés. Une bande son musicale étonnante. Cette pension de famille est un reflet de ce qui se passe réellement dans certains quartiers de Buenos Aires. On crie, on s’injurie, on pleure, on commente les ragots, mais on joue, on chante et on danse. On se déteste mais on s’adore. La pièce traite du rapport et des relations au sein d’une famille, du refus de l’homosexualité, de l’emprise de la mère et de l’absence du père. Tout cela avec une forme légère et divertissante, grâce entre autre à la musique.

La presse

Le Monde , Pierre Gervasoni : « Chansons de Carlos Gardel, répertoire argentin de toute sorte et même opéra de Mozart ... Ainsi qu’en atteste l’une des répliques de Se dice de mi, l’identité argentine tient au « mélange des genres et des cultures ». Stéphan Druet l’a fort bien rendu dans sa mise en scène où les excès ne semblent jamais contre nature,... » Lire la suite.

Figaro Blog , Armelle Héliot : « Dans les odeurs de lavande et de figuier, on assiste à la course folle de cette famille de Buenos Aires...Stéphan Druet connaît bien l’espace et le maîtrise. Mouvement, avec des passerelles sur les côtés et au mileu, des effets avec l’escalier, les fenêtres, etc... Il excelle à donner un mouvement sans écraser ni l’émotion ni la vérité troublante des relations entre les « personnages ». Superbe. » Lire la suite.

Froggy Delight , MM : « ... Des acteurs qui se donnent à fond et sont tous plus drôles les uns que les autres... Le public est plongé au coeur d’une pièce qui vit, et qui se vit sans modération. » Lire la suite.

Se Dice de Mi

Créez votre badge

UNE VISITE INOPPORTUNE de COPI

UNE VISITE A BUENOS AIRES.

Stéphan Druet est un jeune metteur en scène né à Paris. Après avoir joué dans diverses pièces en tant que comédien et après avoir monté plusieurs spectacles, toujours plus éclectiques les uns que les autres (Théâtre classique et contemporain, opérettes, opéra, comédies musicales...) il décide de mettre en scène la dernière pièce de Copi: Une visite inopportune.

Pourquoi Copi?

Parce que Copi est un génie et qu'il sait à la perfection allier la cruauté et l'humour. Il sait, avec des situations graves, nous sensibiliser, nous émouvoir, et surtout nous faire rire, grâce à un savoureux mélange d'humour noir, de vaudeville, et de grand-guignol. Son langage quotidien et percutant nous amène sans détour où il veut que l'on aille et nous démontre que l'on peut affronter la maladie (en l'occurrence ici, le sida) qui mène à la mort, grâce au rire.

Copi est argentin.

Stéphan Druet rencontre un comédien argentin, Sebastiàn Galeota, avec qui il a la chance de travailler en France. Leur complicité est immédiate, et le désir de mélanger leur culture leur paraît être une évidence. Ils décident alors de partir pour Buenos Aires (ville natale de Sebastiàn) dans le but de rencontrer l'équipe artistique nécessaire pour monter Une visite inopportune.

Stéphan a voulu monter cette pièce avec des acteurs argentins qui parlent le français car Copi était argentin mais écrivait en français. Cette envie, une fois de plus, vient du fait de mélanger les cultures: apporter aux argentins la culture française, et aux français la culture argentine; d'où son choix de jouer la pièce en espagnol en Argentine.

Stéphan Druet et Sebastiàn Galeota ont décidé de créer leur propre maison de production (Melocoton Productions) afin de monter La visite inopportune, premiers pas vers une route et un échange entre l'Argentine et la France qu'ils espèrent nombreux, afin de mener à bien tous leurs projets futurs.

UNE VISITE INOPORTUNNE de COPI

LA DISTRIBUTION

Cyrille....................................................Sebastiàn Galeota

L'infirmière............................................Moria Casàn

Hubert.....................................................Gabriel Rovito

Le journaliste..........................................Iván González

Regina Morti...........................................Jean-François Casanovas

Le professeur Vertudeau.........................Gustavo Monje

Mise en scène, décors, lumières..............Stéphan Druet

Costumes.................................................Renata Schussheim

Musique originale....................................Gregorio Vatenberg

Production................................................Melocoton Productions

Production excécutive, en Argentine.......Cipe Fridman

INTENTIONS DE MISE EN SCENE

La pièce parle de la mort, du sida, de l'homosexualité, du théâtre...prétextes à tous les délires improbables qui ne pourraient exister dans une chambre d'hôpital, sauf si Copi était passé par là.

Un jeune artiste se meurt dans une chambre d'hôpital, mais c'est lui qui veut et qui va mettre en scène sa propre mort. Il s'entoure alors de personnages les plus loufoques: une infirmière plus «chien de garde» qu'aide-soignante, un médecin dont le hobby est de pratiquer la lobotomie le dimanche, un journaliste sans question, une cantatrice italienne dont le nom est «La reine des morts», un vieil ami metteur en scène, admirateur, amoureux platonique et confident.

Mon esprit, en général, tient du baroque; ce en quoi la pièce de Copi correspond totalement.

Dans La visite inopportune, tout y est: la situation, des personnages très marqués, du rythme, de la poésie, de l'humour, de la folie...

Mes intentions de mise en scène deviennent alors assez simples: prendre tous ces ingrédients et en faire une valse endiablée.

Surtout pas de décor chargé ou naturaliste représentant une chambre d'hôpital.

Je souhaite un plateau presque nu, comme un ancien hôpital désaffecté. Pas de pendrillonages, ni de frises. Projecteurs à vue. Plus qu'un décor, un mobilier type années 60 : un lit d'hôpital, une malle et une valise, une baignoire, un frigidaire, 2 mezzanines (fond jardin: la salle de bain: baignoire, coiffeuse, lustre et tissus rouges qui pendent et fond cour: la salle d'opération et la loge), un praticable (façon petit mirador), divers accessoires (narguilé, gramophone, table roulante, ventilateur...)

Pour exprimer la vie dite «réelle»: cette chambre d'hôpital, sans porte ni cloison.

Pour exprimer l'onirisme, la représentation théâtrale à la fin: un rideau de scène rouge qui tombe, et des rampes de projecteurs qui s'allument au fond du plateau, le mur du fond représentant le public.

Les personnages (à part Cyrille et l'infirmière, déjà en scène), arrivent tous un par un sur l'introduction musicale («Le galop des mouches» dans Orphée aux enfers d'Offenbach) et se placent en se saluant sur la mezzanine cour, qui représente alors une loge. Tout cela en ombres chinoises pour ne pas déflorer les personnages dans leur costume.

Les comédiens sont à vue en permanence ou bien se trouvent en mezzanine (rideau vert pâle tiré, avec ombres chinoises).

L'infirmière reste pendant toute la pièce sur son mirador et lorsqu'elle doit entrer en scène, descend de son mirador. Près de son escalier se trouve une table d'accessoires dont elle se sert à vue.

Le professeur est dans sa salle d'opération et pratiquera une lobotomie en direct, en ombres chinoises.

Le jeu de lumières et ambiances sont évidemment très importants dans ce genre d'espace et rythment d'avantage le spectacle.

La musique tient également un rôle très important, elle sera donc très présente comme dans toutes ses mises en scènes.

Stephan Druet

metteur en scène

Metteur en scène: Les Divas de L'obscur 2011 Amor Amor au Comedia 2010 Se dice de mi, en Buenos Aires de Federico Mora Festival Nuits d'été Argentinas de Paris (2010) Una visita inoportuna de Copi en Ciudad Cultural Konex (2009) Audimat de Tancrède et Fabrice Lehmanen París (2008) Los Cuentos de Hoffmannco-direccion con Julie Depardieu (2008) Sueño de una noche de verano de Shakespeare en París (2007) L'illusion comiquede Corneille en París(2006) Toi c'est Moi de Moïse Simons en París (2005) Don Juande Montherlant en París (2005) Ta bouche de Maurice Yvain en París (2004) Les vacances de Pandolphede George Sand (2004) Le Docteur Ox de Offenbach en París (2003) Geneviève de Brabant de Offenbach en París (2002) Barbe-Bleue de Offenbach en París (2001) Croqueferde Offenbach en París (1999) Femmes d’Attentede Aurore Evain en París (1998) Le retour sans retard de Martin Tammartde Stéphan Druet en París (1995) (1997)

Afficher mon profil complet

STEPHAN DRUET A FAIT TRIOMPHE COPI A BUENOS AIRES

PAR ARMELLE HELIOT LE FIGARO
On suit ce jeune artiste depuis des années. Après de mémorables mises en scène en France, il a monté Una visita inoportuna dans sa langue au pays de Copi. On rêve de voir ce spectacle en France !
http://blog.lefigaro.fr/theatre/2010/01/stephan-druet-a-fait-triompher.html

Stéphan Druet. Images de thèmes de i-bob. Fourni par Blogger.

MELOCOTON PRODUCTIONS

Amor, amor ... à Buenos Aires

Mise en scène : Stéphan DRUET

Le Musical chic et décalé! Jusqu'au 27 fév. Et du 8 au 24 avril.

Tarif pour les moins de 26 ans

Note d’intention de l'auteur

La presse